Au creux d’une voile improvisée, je te découvre émerveillée toi ma Moulinette adorée. A l’ombre d’un trois mâts, sous la brise d’un voilier, larguez les amarres : Moulinette s’en va-t-en mer…
D’une vague aux arômes ivres, tu te repais dans l’écume d’un jour joyeux. Ta mer pourpre se déhanche dans un monde rondulleux, face à la mer qui t’attend. Prêts à boire le monde, son monde, chantons matelots car Moulinette s’en va en mer